Voici, s’il le fallait, une nouvelle preuve attestant que le combat de La Règle du Jeu en faveur de Roman Polanski n’était pas vain. Steve Cooley, district attorney du comté de Los Angeles, vient d’être battu par son adversaire Kamala Harris et ne sera pas reconduit au poste de procureur. Pour la Règle du Jeu comme pour Roman Polanski, cette nouvelle est une vraie victoire ; la victoire de la probité sur le zèle et, finalement, le retour à la normale après des années d’acharnement (judiciaire?) envers le cinéaste.
Il convient de revenir sur les circonstances de la défaite de Steve Cooley, sa personnalité et ses engagements. Après quelques années de service au Los Angeles Police Department, Cooley intègre le corps judiciaire et devient procureur. En 2000, il est élu aux deux tiers des suffrages au poste de District Attorney du comté de Los Angeles. Très vite, l’homme se construit une image de justicier et promet de « poursuivre sans peur les criminels ». Pour servir sa réputation, le nouveau procureur n’hésitera pas à médiatiser des procès pourtant mineurs mettant en scène des célébrités de l’Hollywood voisin. On se rappelle ainsi Wynona Ryder, actrice de cinéma poursuivie pour vol à l’étalage. Cooley ne convoquera pas moins d’une demi douzaine de procureurs pour punir la célébrité. The Guardian, qui suivra l’affaire, parlera d’un « procès spectacle ». Cooley laissera Ryder à la merci des quolibets et mettra, ainsi, un coup d’arrêt à la carrière de l’actrice. Derrière cet acharnement pour un fait divers a priori anodin, on voit se dessiner en filigrane les intentions du procureur, sa haine (ou sa fascination?) du star system, son positionnement entre puritanisme et populisme.
2006 et 2008 seront des années fastes pour Cooley qui sera réélu deux fois au poste de District Attorney avec l’obsession de redorer le blason de la fonction qu’il occupe. Son prédécesseur s’était illustré par sa gestion calamiteuse de l’affaire O.J Simpson (footballeur américain accusé de meurtre) qui verra de nombreux et rocambolesques rebondissements. Steve Cooley n’aura de cesse, au cours de ses trois mandats, d’effacer des tablettes cet épisode peu glorieux. Et c’est certainement Roman Polanski qui pâtira de cette obsession.
En ce mois de Novembre 2010, les habitants de Los Angeles ont eu le choix de renouveler, ou non, leur confiance à celui qu’ils ont trois fois par le passé plébiscité. Cooley, fort de son expérience, était donné gagnant par le parti Républicain avant même de connaître l’issue du vote. Lui-même plastronnait dans les media californiens, fort de son prétendu « bilan ». Eh bien Steve Cooley n’a pas été réélu. Eh bien Steve Cooley a été, enfin, désavoué. Les habitants du comté de Los Angeles, fatigués des méthodes de leur procureur et, semble-t-il aussi, du coût astronomique de ses procédures, ont choisi d’accorder leur confiance à Kamala Harris, candidate officielle du parti démocrate. Son acharnement contre Polanski a-t-il également joué? Cet homme qu’il prétendait ramener, mort ou vif, à ses partisans lui est-il revenu en boomerang et a-t-il, de sa prison de Zurich, et, évidemment, à son insu, contribué à sa chute? Assiste-t-on, en d’autres termes, à une nouvelle version, particulièrement réjouissante, de l’arroseur arrosé? Il semble que, contre toute attente, cela ait effectivement joué. Et ce n’est pas ici, à la Règle du Jeu, qu’on s’en plaindra.
Une parenthèse, en tout cas, se ferme et Los Angeles respire. Avec Kamala Harris au poste de District Attorney, première afro-américaine et asiatique à accéder a ce poste, c’est un nouveau chapitre qui s’ouvre. La Californie, elle, renoue judicieusement avec sa tradition d’ouverture et de progrès.
Il semble Samantha Galley, même si une jeune fille n’était pas un étranger de sexe. Voir ce journal porte-parole de l’examen écrit sur septembre 1977 20ème ci-dessous. Je pense que les retombées des événements parce que sa mère a découvert ce qui se passait, quand elle a déjà été laissé dans le noir, bien que sa mère était au courant de le petit ami de Samantha 17 ans. C’est pourquoi Samantha veut maintenant le pardon, car elle sait que Polanski n’était pas entièrement à blâmer, et qu’elle aussi a été victime par le système de Santa Monica palais de justice comme Roman Polanski.
http://news.google.com/newspapers?nid=1314&dat=19770920&id=JNURAAAAIBAJ&sjid=He4DAAAAIBAJ&pg=6879,1950498
Dans le journal L’article mentionne que la police Hollywood avaient des relations sexuelles avec des filles mineures en 1977.
Suisse le refus d’extrader film directeur Roman Polanski peut ne pas avoir été l’incendie question politique de l’année écoulée en Suisse selon Swiss nouvelles à la fin de 2010.
Cependant Corruption judiciaire, il est toujours un problème politique qui brûle en Californie, . Roman Polanski 1977 cas n’est pas le seul exemple de corruption du système judiciaire au Santa Monica palais de justice, Californie, puisque d’autres ont également subi corruption judiciaire & la piqûres d’injustice, par les brutalités policières, par faites overte les rapports la corruption policière & la policière répression d’une agression sexuelle plainte
Cet état de choses en Californie parallèles questions brûlantes dans le film « Rosemary’s Baby », ont fait plus de 41 ans passè, et réalisé par Roman Polanski, depuis aussi dans la réalité, il ya des secret covens qui casser la gueule des femmes, victimes d’agression sexuelle qui osent rapport que la police étouffe le plainte d’agression sexuelle dans le Santa Monica palais de justice en Californie.
ileak est la nouvelle terminologie – Mais ce qui est passé est un prologue
Switzerland’s refusal to extradite film director Roman Polanski may not have been the burning political issue of the past year in Switzerland according to Swiss news at the end of 2010.
However there is still a burning political issue in California, which is Judicial Corruption.
Roman Polanski’s 1977 case is not the only instance of Judicial Corruption at the Santa Monica Courthouse, California, since others have suffered Judicial corruption & the stings of injustice, in the form of police brutality for reporting police cover up of sexual assault.
This makes for a double standard in how sexual assault cases are handled, with partiality and police cover-up being given to those perpetrators working for California government.
This State of affairs in California does parallel burning issues in the movie “Rosemary’s Baby” made more than 41 years ago and directed by Roman Polanski since also in reality, there are secret covens to boot sexual assault victims for reporting in the Santa Monica Courthouse California.
ileak is new terminology – But what is past is prologue!
YPT3
POLANSKI a violé une mineure et comme un lâche, il a fuit son pays et la justice.
Son talent ne le met pas au dessus des Lois même si beaucoup de temps est passé depuis les faits mais la faute à qui? à lui qui s’est enfoui.
Choquants les appuis qu’il a reçus.
Le lecteur averti est stupéfait… Voilà un article faux du début à la fin, voilà un site qui ne rectifie même pas, et voilà un débat qui continue comme si de rien n’était ! Il est regrettable mais non moins vrai que Steve Cooley est toujours procureur de Los Angeles et que l’information donnée par le site de la « Règle du Jeu » est simplement erronée. La bonne cause (celle de Polanski) n’a rien à gagner des affabulations d’un blog. Il n’y a qu’un arroseur arrosé, il s’appelle Laurent David Samama.
l’arroseur arrosé ? curieux raisonnement.
Ce procureur a aussi violé une gamine de 13ans ?
Après tant d’acharnement, voilà que Polanski tient enfin sa revanche.
Il était temps que les états-unis fassent leur propre autocritique.
Il était temps!!!!
Si j’ai bien compris, maintenant qu’un nouveau procureur va assurer un suivi judiciaire équitable, j’imagine que Roman Polanski va enfin pouvoir répondre de ses actes devant la justice en se rendant aux Etats-Unis ? C’est bien ça, non, qui l’empêchait de faire confiance en la justice américaine ??
Je comprends votre point de vue, Alix. Mais chaque État possède son propre code pénal établissant sa propre gradation des peines, variant selon les âges. En 1976, un seul homme tombant sous le chef d’inculpation de détournement de mineur fut condamné à une peine de prison par la Cour Suprême de Californie. Les autres, ne nous en déplaise, s’en sont tirés avec une mallette de dollars pour tout dédommagement, un comble, pour des protestants ayant claqué les grandes portes de Rome sur le système des indulgences! Mais c’est aussi une posture qui se défend, théologiquement. Car chez notre Oncle Sam, la privation d’argent représente la confiscation des biens terrestres qui étaient venus récompenser une vie pieuse, lesquels biens temporaires constituaient la réservation d’une place au ciel pour l’éternité.
Maintenant pour tout vous dire, c’est que vous ayez mis l’accent sur ce nombre «15» relatif aux années d’enfermement qui d’après vous auraient mieux convenu à ce qu’on nous dit s’être passé là, qui me paraît pouvoir ouvrir une voie vers un champ d’entente autour de notre positionnement commun contre la peine de mort. Car la substitution de la privation de liberté à la privation de vie, n’implique-t-elle pas bien heureusement l’espoir que nous fondons en la puissance de réparation des fautes et des crimes malheureusement accomplis? N’attendons-nous pas du système judiciaire qu’il ait métamorphosé la personnalité d’un homme ou d’une femme qu’il prévoit de relâcher un jour avant de le ou la remettre entre nos bras, plutôt que dessus? Or à y regarder de plus près, je ressens profondément qu’une transformation de cette espèce rare a su atteindre l’homme auquel nous pensons tous les deux. Cet homme qui avait trouvé un amour de Sharon. Cet homme qui traversa une zone d’épouvante innommable durant laquelle ses gestes incontrôlés purent heurter une jeune fille accoudée à une rambarde branlante, au passage de son train fantôme. Cet homme qui rencontra soudainement l’une de ces jeunes filles dont il recherchait l’innocence animée par la nécessité paradoxale de fuir à toutes jambes le territoire du crime, laquelle fille s’avéra être une femme, la sienne, qu’il ne quittera plus pendant plus de vingt ans.
Emmanuelle a ramené Roman derrière l’enclos des vivants. Est-ce vraiment ce que nous voulons, enrayer aujourd’hui cette arme du salut? L’arme pourtant de très loin la plus dissuasive…?
Cet article est très bien et il est loin d’être ridicule! Il montre, oh combien, les Districts Attorneys américains élus, n’hésitent pas à utiliser la notoriété de certaines célébrités en montant en épingle leurs délits, alors que les mêmes délits commis par des inconnus sont très peu punis… même le délit commis par Polanski en 1977! Et tout cela dans le but d’être réélus.
Un accord a été conclu à l’époque entre les différentes parties parce que Samantha ne voulait pas comparaître devant un tribunal. Au juge elle a raconté – peut-être poussé par sa mère – sa version des faits… Polanski lui a toujours soutenu qu’elle était constante. Qui croire? Avant de juger Polanski – bien que je ne cautionne pas ce qu’il a pu faire en 1977 – il faut bien se renseigner. Si la Suisse a refusé de l’extrader, c’est qu’il y avait des raisons. Pourquoi mettre toujours Polanski au panier en deux coup de cuiller à pot? Il n’est pas un pédophile, il est marié depuis plus de 20 ans avec la même femme avec qui il a eu deux enfants… Le Polanski de maintenant n’est plus le Polanski de 1977. Pourquoi on ne veut pas lui pardonner, alors que sa victime, elle, lui pardonne et a même déclaré que tout ce tapage médiatique lui a fait et continue à lui faire plus de mal que Polanski en 1977?
Vous prenez vos désirs pour des réalités et vous nous racontez des bobards ! Steve Cooley est toujours district attorney du comté de Los Angeles, et il songe même à être candidat pour un quatrième mandat en 2012. En revanche, il a été battu par sa collègue Kamala Harris de San Francisco dans la course au poste de « state attorney général » de Californie. Aucune parenthèse ne se ferme donc à Los Angeles.
« Tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu’il soit, commis sur la personne d’autrui par violence, contrainte, menaces ou surprise est un viol.
Le viol est puni de quinze ans de réclusion criminelle »
42 jours?….
Tapie confessait dernièrement que ce n’était pas la durée de la peine qui l’avait décidé à mettre fin à ses jours, mais les premiers jours de captivité, alors qu’une lutte terrible entre l’élan vital et les murs qui s’opposent à son instinct de projection en avant, fait monter la tension entre les mondes intérieur et extérieur à un degré tel que la seule issue qui s’offre à l’esprit cherchant à reprendre le contrôle, va consister dans la destruction de ce corps auquel on a enlevé la possibilité de l’être. Roman Polanski fut enfermé quarante-deux jours à Chino. Un jour à mourir vivant. Un jour à mourir vivant. Un jour à mourir vivant. Un jour à mourir vivant. Un jour à mourir vivant. Un jour à mourir vivant. Un jour à mourir vivant. Six fois sept jours durant lesquels chaque seconde est une seconde passée en enfer. Une expérience de justice qui l’aurait transformé pour le restant de ses jours, mais il fallut qu’on vienne l’attraper par la peau du cou, lui écraser la tête au sol et le jeter contre l’un des quatre murs d’une autre cellule en vue qu’il réapprenne à mourir vivant à soixante-quatorze ans. Et là, ce n’est pas au paradis du sénateur McCarthy, mais où une Cour de Cassation avait relâché, au bout de trois années d’irrédemption, un homme qui en avait livré mille six cents autres, grands et petits, à ses alliés nazis, c’est là, je veux bien dire ici, que des sourires hémifaciaux percèrent d’un regard froid ceux qui remueraient le ciel dans la terre jusqu’à ce que s’interposent les faits en travers du fait que la souris de Cracovie mourrait sa vie en cage assez longtemps cette fois pour qu’elle y vécût sa mort. Si après cela, le gros chat helvétique a laissé quelques uns d’entre nous sur leur faim, il y a peut-être une façon de calmer la douleur. La traiter par la peur tel qu’un esprit doit dans l’ordre des choses montrer au corps qui domine l’autre. Et pourquoi pas, en signe de pénitence appropriée, quarante-deux jours de jeûne…
Cet acharnement de ces magistrats californiens est ridicule, et l’episode suisse n’a servi a rien. je trouve triste que Roman Polanski ai du vivre tout cela. Longue vie a l’artiste.
http://www.scpr.org/programs/patt-morrison/2010/08/09/steve-cooley-caught-accepting-numerous-gifts-despi/
AUCUN RAPPORT,
L’affaire Polanski est passé presque inaperçu aux US
Par contre, il a été mis en lumière qu’il a accecpté des milliers de dollars en cadeau, lui qui a combattu la corruption lors de sa carrière…
Sophie
Aucun rapport…
Il a reconnu avoir accepté des milliers de dollars en cadeaux, lui qui avait combattu la corruption publique…
Le débat autour de Polanski est passé presque inaperçu aux USA..
»LA County District Attorney and California Attorney General Candidate Steve Cooley is alleged to have taken thousands of dollars in gifts from various people over the years. Known for his past record of fighting public corruption, Cooley received numerous gifts, including $1600 in Lakers tickets, pricey bottles of tequila and cologne, and expensive cigars from lawyers who later became judges. The report, published by the San Francisco Chronicle, comes as a blow to Cooley’s anti-corruption campaign for attorney general and his widely publicized investigations into campaign finance violations and Mayor Villaraigosa’s free tickets. »
http://www.scpr.org/programs/patt-morrison/2010/08/09/steve-cooley-caught-accepting-numerous-gifts-despi/
Oui très alix, tout à fait d’accord avec toi.
C’est article est très bien et il est loin d’être ridicule! Il montre, oh combien, les Districts Attorneys américains élus, n’hésitent pas à utiliser la notoriété de certaines célébrités en montant en épingle leurs erreurs, alors que les mêmes délits commis par des inconnus sont très peu punis… même le délit commis par Polanski en 1977! Et tout cela dans le but d’être réélus. Donc, moi aussi, je me réjouis que Steve Cooley n’ait pas été réélu!
Et merci encore à la Règle du Jeu d’avoir soutenu Polanski.
Encore un article ridicule empreint de partialité.