Le moins barbare des hommes par Claude Lanzmann Si mon fils, qui vient d'entrer en Lettres Supérieures au lycée Henri IV, m'avait confié son désir de devenir boucher...
Heureux comme Dieu en France par Werner Küchler Je tiens en suspicion une viande qui n’imposerait pas de s’essuyer la bouche.
Bulletin des bouchers urgentistes : suicide de Boris Viandes par Grégoire Lacroix On vient de trouver Boris Viandes pendu à un crochet de boucher dans le grenier de sa modeste demeure.
Chef de cuisine par Bernard Vaussion Je suis entré comme commis il y a trente-huit ans dans un palais. Ce palais est l'Elysée.
Un extrait d’Ulysse de James Joyce par James Joyce Et par le même chemin s'écoulent d'innombrables troupeaux...
Morceaux choisis par Valérie Solvit C’était un éducateur dans l’âme. Tout, chez lui, reposait sur le savoir, la connaissance.
Un monde plus sage par Christian de Boissieu La consommation de viande renvoie à l'homme l'image de sa condition animale et de sa propre mortalité.
Commerce avec mon boucher par Jacques Toubon Il n’y a pas de boucher sans bouchère. Impossible. C’est un commerce qui se fait à deux.
Le Christ, un nouveau régime par Alix de Saint-André « ce n'est pas ce qui entre dans la bouche de l'homme qui le souille, mais seulement ce qui en sort. »
Dans la Bible par Armand Abécassis C’est autour d’une table bien garnie que sont scellées les alliances divines et humaines.
Mangez de ce que la terre vous offre de licite et de bon par Malek Chebel « Ô mon fils, j’ai eu en rêve une vision selon laquelle je dois t’immoler, qu’en penses-tu ? »
Meat me in Argentina par Jean-Pierre Rives Toutes les vaches argentines vivent en liberté. Comme on dit, « elles ont vu le soleil », et ce, tous les jours de l’année.
Je mange mes souvenirs par Marcelo Joulia Les souvenirs de chair de sa viande maternelle le poursuivent toujours, où qu’il aille.
Chair par Pietro d’Oriano Il n’y a pas de plaisirs de la chair et de la viande qui se laissent distinguer comme s’ils étaient, chacun des deux, de purs plaisirs en soi.
Les deux corps du tartare par Jérôme Dumoulin Catinat (Nicolas Catinat, maréchal de France) désapprouva la furie de ses soldats, qui criaient : « Traitons les Allemands à la tartare. »