Le Hamas est une organisation terroriste.
Ce groupe islamiste qui a juré la mort d’Israël, prend à cette fin aussi vaine que criminelle ses populations civiles en otage, utilisées à merci comme autant de boucliers humains et de « martyrs » en puissance. Fort de gouverner d’une main de fer un territoire usurpé dans le sang à l’Autorité palestinienne, le Hamas, dans une fuite en avant suicidaire, n’a cessé depuis sa mainmise sur Gaza d’agresser l’Etat d’Israël par des pluies de missiles de plus en plus perfectionnés, qui s’abattent désormais à l’aveugle sur toutes les villes du pays.

Il faut en finir avec le Hamas. Il n’en va pas seulement de la sécurité d’Israël. Libérer Israël du Hamas, c’est libérer tout autant la Palestine du Hamas, qui, outre Gaza sous sa poigne, tient ses « frères » de Cisjordanie sous le chantage constant de sa politique fratricide, interdisant tout accord de paix avec Israël. Israël-Palestine, même combat !

Il revient au premier chef à l’Etat d’Israël la responsabilité de libérer Gaza et la remettre à l’Autorité palestinienne afin de construire un Etat souverain en recouvrant un territoire qui lui fut soustrait par la force. Il revient à tous les démocrates à travers le monde de soutenir le retour de Gaza à l’Etat palestinien, au nom du droit des peuples à l’indépendance et à la liberté.

Reste que, sans parler du coût pour les populations de Gaza elles-mêmes tant le Hamas n’hésitera pas à les sacrifier sur l’autel du fanatisme, le coût en vies humaines d’une telle opération ne peut être supporté par le seul Israël. C’est à la communauté internationale toute entière d’agir pour en finir avec cette hypothèque à perpétuité sur la paix et le droit des peuples que représente le Hamas et sa politique vers l’enfer pour tous. Comme en Bosnie pacifiée sous l’égide de la FORPRONU, comme au Kosovo libéré du joug serbe par l’intervention des forces de l’OTAN, comme en Libye affranchie de la dictature de Kadhafi par l’action conjointe des aviations occidentales et des pays arabes, une force internationale doit être constituée pour libérer Gaza de la férule du Hamas, au bénéfice d’un Etat palestinien souverain et pour la paix dans la région. Gaza libérée, la poudrière neutralisée, les implantations juives en Cisjordanie auront d’autant moins de raisons de se maintenir.

Pour toutes ces raisons et d’autres tenant à ses liens avec l’Internationale djihadiste qui menace le monde musulman et au-delà, halte au Hamas, à son idéologie islamiste, à sa dictature à domicile, à ses guerres à répétition contre Israël et son obstruction à une Palestine souveraine!

Je pleure les hommes et les femmes de Gaza qui tombent tous les jours, je pleure les Israéliens qui tombent tous les jours, tous, sans distinction, à cause du Hamas. Ces deux populations qui se partagent la Terre sainte ont trop souffert depuis des décennies.

Gaza libéré, Israël et la Palestine devraient être conjointement sanctuarisés, et leur coexistence garantie sous l’égide de la communauté internationale, contingents de paix à l’appui.

Pourquoi la France, au nom de l’Europe, ne prendrait-elle pas l’initiative d’une conférence en vue de la libération d’une population asservie et de la paix entre deux nations qui y aspirent en vain depuis un demi-siècle et pleurent toutes deux leurs morts à égalité de souffrance et de deuil ?

6 Commentaires

  1. (pardon pour l’absence d’accents sur mon clavier).

    Mr Nemarq a tout a fait raison, je souhaiterais meme que l’autorite Palestinienne de Cisjordanie se joigne a Tsahal pour liberer Gaza du totalitarisme criminel du Hamas. Cela permettrai en outre de sceller la paix et la confience entre Israel et la Palestine. Ensuite, la paix ferait son oeuvre: developpement economique de la Palestine avec le capital Israelien et international, joint-ventures Israeliennes en Palestine, accession des etudiants palestiniens aux universites Israeliennes en attendant que des structures educatives se mettenet en place en Palestine: le cercle vertueux de la croissance serait le moteur de la paix.
    Mais avant, oui Israel doit gagner contre les obscurantistes medievaux du Hamas, et les Palestiniens s’honoreraient de participer a cette lutte, c’est la qu’est leur vraie liberation.

  2. À l’ère où nous vociférons aphones, le chef d’État qui a le malheur de mener des guerres justes se voit payer de ses efforts par le mépris ou la haine de son électorat témoin, et par-delà les frontières qui l’étriquent, le seul bobo qui fût jamais, je veux parler du délateur altermondia(liste), a toute latitude pour tirer sur la laisse de Tony Blair avec laquelle il réussit à le prendre au lasso. Pendant ce temps, l’effigie du tyran le plus industrieux peut continuer à jouir, dans l’indifférence générale des racistes du cœur, d’un plébiscite croissant auprès de la portion de peuple qui espère continuer le plus longtemps possible à passer au travers des humiliations mortelles de son happy slapping, et du travestissement ciblé que saura revêtir sa multidiffusion. Poutine aurait tort de se priver. Il sait que le feulement d’une Pussy Riot pue la trahison à plein nez. Que les alliés qu’elle est allée trouver la discréditent auprès de son Front national. Que le Gardien à qui elle s’est vendue renforce sa stature de seul empereur pouvant tenir tête à l’envahisseur atlantiste. Que le drapeau panislamique et ses aigles pangermaniques finissent toujours par flotter sur Paris, dans l’ignorance générale des racistes de la raison, — les Anglais vous diront qu’entre ignorance et mépris, il n’y a qu’un pas de loi. — Le droit de faire n’importe quoi à n’importe qui. De dire de qui l’on veut absolument tout ce que l’on veut. J’en veux pour preuve ce maniérisme, tellement humanitaire, au détour duquel il m’est cordialement demandé d’imaginer combien de temps j’aurais supporté ce qui se passe actuellement au Proche-Orient si la situation avait été inversée. Rendez-vous compte. Des bombardements aériens sur Tel Aviv et Jérusalem. Des chars d’assaut pénétrant le territoire israélien!
    C’est fou comme nous réussissons, quand cela nous arrange, à ne voir que ce qui va nous servir à affuter notre scie, bien assis que nous sommes au bout de notre branche désarmée! car l’inversion de la situation dont parle M. Backmann, elle implique un Israël faisant subir depuis des mois, que dis-je, des mois… des années, une pluie de roquettes à Gaza mais ce n’est pas tout, elle devrait faire tomber le masque d’un gouvernement Netanyahou détournant les milliards qu’il percevrait de la part de la communauté internationale, un gouvernement prêt à affamer son propre peuple dans le vain objectif de chasser de son antique royaume l’occupant palestinien. Et cette vérité-là, on se garde bien de la déterrer des sables mouvants où évoluent nos enfantins appels au secours en direction d’une hyperpuissance complètement dépassée par le bruit du tonnerre qu’elle n’a pas déclenché. Poutine est le grand protecteur d’un hypo-empire qui arme, d’un côté, sa tête-de-pont antisioniste pendant qu’il négocie, de l’autre, son droit à l’enrichissement de l’uranium. Or, contrairement à ce que l’on imaginerait, c’est à son pogromisme transcendantal que Poutine doit sa longévité de dictateur du siècle dépassé. Si, si. C’est grâce à cette guerre sale qu’il mène contre Israël avec le soutien auto-inavouable de tous ceux qui, à l’UNRWRA ou ailleurs, supplient les supplicieurs dans leur sommeil afin qu’ils parviennent à leurs fins que le vrai bourreau d’Amsterdam, d’Alep ou de Sébastopol pourra persévérer, non sans un certain succès, dans ses guéguerres picrocholines. Et n’en déplaise aux penseurs en vacances, Israël ne transforme pas Gaza en Grozny. Et qu’ils veuillent bien le dire ou choisissent de le taire, la Russie de Poutine rase gratis comme au premier jour. Cette ascension cul par-dessus tête n’est pas faite pour durer indéfiniment. La faiblesse de la Russie vient de ce qu’elle a cessé de croire en la force invincible de ses Masha Alekhina. Le rêve tsaro-marxiste de Vladimir Poutine est un occis mort. « Laissez-le, vous interrompt Glenn Ford (cf. The Money Trap). Il est mort. Mais il ne le sait pas. »
    Au risque d’en décevoir quelques uns, nous ne sommes pas complètement tarés. Nous avons très vite compris que la prise de Gaza par le Hamas ferait entrer Israël dans une phase critique de la guerre israélo-arabe. Et nos craintes ne tardèrent pas à être confirmées. Le blocus est cet insoutenable état de décivilisation dont nous rappelons qu’il fut consécutif au renversement sanglant de l’Autorité palestinienne dans la bande de Gaza par un Hamas que Marius Schattner, lequel reconnaît chez lui un certain goût pour les actions terroristes, a peut-être raison de ne pas qualifier d’organisation terroriste en ceci que le Hamas est à la Palestine ce que la République islamique est à l’Iran. Un establishment. Un État. Un État avec lequel on s’attend à ce que nous autres, Infidèles de toutes les nations, nouions des relations d’État à État alors même qu’il planifie notre destruction. Le Hamas est un État fasciste, psychotique, irrécupérable, mû par l’espoir que la situation des Palestiniens de Gaza puisse être préservée indéfiniment en l’état. Cette situation est intolérable, nous en sommes tous d’accord. Elle est intolérable, du fait du Hamas, et uniquement de son fait. Le même Hamas qui, ce soir, manifestait avec Proudhon, Drumont et Cie, entre une zone que l’on qualifiera Denfert et une autre de nécropole des hommes de guerre tombés pour la France. J’aimerais que les morts de Gaza aient été sacrifiés au nom des mêmes valeurs que nous savons chevillées à l’appareil idéologique d’État des Juifs croyants, agnostiques et athées mais voyez-vous, j’en doute. Et cela ne m’empêche pas d’avoir le cœur serré devant l’inhumanité de leur condition. Aussi, je ne vois pas d’autre solution à ce martyre savamment orchestré que l’ouverture de la frontière égypto-gazaouite, lequel déchaînement aura pour effet de neutraliser toute nouvelle demande de levée du blocus étant, probablement, le seul argument recevable dont dispose à cette heure le Mechaal soi-disant aux abois pour justifier sa guerre antisioniste. Personne au monde n’accepterait de laisser un ennemi déclaré pénétrer un centimètre de son territoire, or je ne sache pas que l’extermination des Égyptiens fût inscrite dans la Charte du Hamas. Et je ne sache pas que le principe d’épuration ethnique ait été raturé dans la Charte de l’OLP. Quand même il faudrait continuer à rentrer dans son jeu, le planificateur des attentats de Munich doit être recruté en sa qualité d’interlocuteur duplice. Il s’identifie par son refus de reconnaître Israël comme État souverain du peuple juif, lequel il qualifie d’État génocidaire. Je propose donc, dans un premier temps, que nous laissions à Al-Sissi le soin d’en finir avec les Frères musulmans palestiniens, et puis, dans un second temps, que nous aidions les démocrates égyptiens à renverser la dictature militaire. Et pour ce qui est de la Cisjordanie, le processus de paix ne doit pas redémarrer sous l’auréole d’un Abbas popstarifié. Dans son esprit, Nakba et Shoah c’est du kif, et bien entendu, Ben Gourion fut et demeure le Hitler juif.

    • Inutile de rappeler que sous les couleurs panarabes, c’est le panislamisme qui pousse son long râle. Que le stratégique soutien au Hamas de la République arabe irano-syrienne en a fait la démonstration. Que le triple mot d’ordre d’Arafat n’était pas davantage nationaliste que pan-nationaliste.

  3. entièrement d’accord avec cet article , bon courage Israel pays que j’aime …et+

  4. Non, La France ne prendra aucune initiative car Politique Arabe oblige renforcée de plus en plus par le poids du Qatar (support avec l’Iran et l’Iran et la France du Hamas) qui finance les équipe de foot, les banlieues et les immigrés du Djihad, achète des grands hôtels et immeubles prestigieux sans comptes des prises de participation ou contrôle des grands groupes économiques et indutriels Français.
    Hélas, la France n’est plus maître de son destin et il faut y ajouter une économie en berne depuis 10 ans, un pourrissement intérieur (gauchisme des médias et des juges) et le départ des meilleurs (auxquels s’ajoutent de plus en plus celui des Juifs) ainsi qu’un pouvoir politique faible et incompétent.
    Il n’y a plus rien à faire.

  5. Le Hamas doit disparaître , c’est une évidence quand une branche est pourrie , on la supprime.
    Mais l’Autorite palestinienne ne vaut guère mieux Aucune confiance doit être la ligne de conduite d’Israël vis à vis des arabes : menteurs fanatiques, ils ne respectent rien sauf la force
    Après l’écrasement du Hamas qui est un mouvement nazi il faudra être vigilant sur l’avenir de la JUDEE car je ne crois pas en la signature de Abbas et consorts.
    Les implantations doivent etre acceptees definitivement et les forces de Tsahal doivent rester pendant un temps à définir jusqu’à une véritable paix soit installée .
    Il va de soi que Jérusalem restera notre capitale réunifiée