On apprend ce matin la nouvelle de la mort de Ben Laden et soudain la peur a changé de camp. Jouissif sentiment de puissance quand les démocraties triomphent du mal ! Je ne suis pas de ceux qui prennent des précautions d’hyper-humains lorsqu’il s’agit de se réjouir de la mort d’un salopard. Ben Laden a été tué par les services secrets américains à Abottabad dans le nord du Pakistan. Il était installé dans une résidence bien plus confortable que les grottes où l’on pensait le voir caché…
En donnant l’ordre de foncer sur les Tours Jumelles, Ben Laden pensait triompher. Il signait en fait, par cet acte inconcevable son arrêt de mort. Aux yeux des américains, Ben Laden avait commis un sacrilège : attaquer l’Oncle Sam sur son propre terrain, à l’intérieur même du Home Sweet Home.
En un instant, le millionnaire saoudien devenait un vulgaire kamikaze islamiste, l’égal de ces pauvres types qu’il hébétait pour la cause. Sa mort était imminente, programmée : L’Amérique, de toutes ses forces, allait traquer le terroriste.
Ce qui était alors frappant dans les Etats-Unis post-11 Septembre était bien cet unanimisme et cette union sacrée autour de la nécessité presque biblique de vengeance. Leaders démocrates comme républicains l’avaient promis, Obama l’avait clairement affiché comme une promesse de campagne : les USA ont tenu parole : ils ont eu la peau de Ben Laden !
Poursuivons… Ben Laden retrouvé par les services américains sous le mandat de Barack Obama, cela relève d’une vraie logique, celle du changement de dialectique. Bush avait sauté à pieds joints dans le piège tendu par le terroriste, ne pouvait que le suivre, Obama, intelligemment, s’en est extirpé. Il y a bien, entre les deux Présidents américains, un gouffre dialectique lorsqu’il s’agit de lutter contre le terrorisme : En George W. Bush, Ben Laden trouvait le partenaire belliqueux idéal, celui qui, à chaque signal de vie envoyé par le saoudien d’origine, se devait de répondre. Avec Barack Obama, Ben Laden se trouvait face à un mur. Le mur de la modernité. Distinguer des infidèles parmi l’humanité comme le fait l’islamisme radical est un non-sens dans un monde qui marche inexorablement vers le métissage. Métissage dont Obama est le vrai symbole. Que faire contre un Prix Nobel de la Paix, continuateur de l’œuvre de Martin Luther King, Président de la Première puissance mondiale réunis en un seul homme ? Rien évidemment ! La donne avait changé. Ben Laden avait perdu !
Barack HUSSEIN Obama a eu la peau d’Oussama Ben Laden. Voilà qui déjoue les pronostics du Tea Party et des plus fervents opposants réactionnaires au Président américain. Opposants qui voyaient en Obama un agent double de l’islamisme installé à Washington et qui doutaient, hier encore, de l’américanité d’Obama. Qui le 2 mai 2011 réclame encore le certificat de naissance du locataire de la Maison Blanche ?
Je suis de nature humaniste et contre la violence en général, mais dans le cas présent, je pense comme vous M.Samama.
« Je ne suis pas de ceux qui prennent des précautions d’hyperhumain lorsqu’il s’agit de la mort d’un salopard ».
Le constat est ainsi fait qu’il n’y a malheureusement que par le mal également qu’il est possible de se défaire de personnes comme Ben Laden, dont l’esprit et la pensée sont si gravement atteints par le mal et la haine !
D’autres issues semblent improbables. S’il était possible de négocier de manière juste et équitable avec des gens qui prônent le mal, ça se saurait depuis déjà longtemps…
Sa fin, toutefois, ne signe pas la fin du terrorisme. Mais au moins elle rend justice à tous ces milliers de gens morts gratuitement dans les attentats perpétrés ces dernières années par ces fous d’Allah et commandité par leur cerveau : Ben Laden.
New York, Bali, Madrid, Israël, Maroc récemment etc…
A qui le tour à présent ?
Au nom toujours de la vengeance !!!
C’est horrible de penser que des humains peuvent être capables de tuer d’autres si gratuitement et de façon aussi lâche et indigne, juste au nom de leur idéologie infondée et folle !
Nous sommes pourtant contraints de vivre continellement dans la méfiance qu’instaure ce groupuscule gangréné !
Le faux Jihâd, cette guerre, qui n’a de saint que le pseudonome, cette fin du monde que s’anticipe une âme immonde ayant perdu la conscience et de son propre commencement et de sa propre finitude, est un ver dans le fruit de l’islam. Coupez un ver en deux, vous en obtenez deux.
Cela étant, Ben Laden ne fut jamais le chef du Jihâd. Ce dernier est censé être Allah, fût-il pris pour Ce qu’il est ou ce qui ne L’est pas. Or, le propre du Dieu d’Abrahâm est d’être indestructible. Pour le meilleur. Et pour le pire.
Alors, oui, la mort du pourri ne vaut que pour ce qu’elle est le double révélateur, 1) de ce que l’hyperbanditisme destine ses membres à la même fin à laquelle se condamnent les chefs du grand banditisme; 2) d’une Amérique unifiée autour de ce qui fait son unité : le lambda citizen. Cet inconnu non-anonyme revenant de l’ouest lointain, à la vitesse wellesienne d’un rayonnement gamma. Cette onde irrésistible, le terrifié n’avait pas pu s’empêcher de la prendre pour vecteur de sa projection. En somme, c’était bien le dèmos que ce piètre démon avait dans le collimateur dès l’envol précédant sa chute.
Vous confirmez que ceci n’est pas la photo officielle de la mort de Ben Laden ?
le patron de Ben Laden et le patron des énnemis de l’islam y’est compis les hypocrites arabes est le même satan si cette mort est un messonge américain des catastrophes en Usa pire que ces tornades et cette fois çi ni le Pentagone ni la Cia ni la maison blanche ne seront épagner par ces catastrophes un fort séisme ou une tornade apocalyptique le chiffre 11 symbole de satan et de Ben Laden les attentats le 11 pas pour rien