« Recuerdo de tu papá » (dissimulé dans l’ombre de la « cuisine alchimique « (?) : « souvenir de ton papa » reçu par Fernando Arrabal à sept ans)
“…après huit jours de festival…
….à 20h, toujours dans ce Jardin du Off où Greg Germain veille sur le festival aux 1336 spectacles, c’est Fernando Arrabal, qui faisait son entrée sous les applaudissements. Le maître des échecs, «transcendant satrape» et auteur joué dans le monde entier, a raconté comment son père, mort dans les prisons de la guerre d’Espagne, lui avait laissé une maquette de maison inachevée, pour héritage. Avec sa fantaisie poétique habituelle, il a expliqué que cette maison était l’image de l’architecture de tout ce qu’il a écrit depuis. Il a célébré le «off», où il est, comme tous les étés, à l’affiche. Encore un grand moment de théâtre !”
(Armelle Heliot, Avignon, Le Figaro)