Tweets @arrabalf =
autre arrabalesque: …un caméléon paranoïaque peut-il changer de signe du zodiaque?
¿..un camaleón paranoico puede cambiar de signo de zodiaco?
_________________
- Giovana Amano, Sergio Lima, Jorge Grinspum:
- SãO PAULO: Présentation de Skyline
- de OSCAR NIEMEYER et FERNANDO ARRABAL
- traduc: Wilson Coelho
- Ed. Menú (Juan Carlos Valera)
- et Imitando el Tiempo/Menú
- Séminaire « Poésie au cinéma » suivi de l’exhibition de ses films
______________________________7 films longs métrages dirigés par ARRABAL (prix “Pasolini” 2007) :1970 Viva la muerte
coproduction Isabel-Films (Paris) et S.A.T.P.E.C. (Tunis), avec Nuria Espert, Ivan Henriques et Anouk Ferjac.
*
1972 J’irai comme un cheval fou
(« Iré como un caballo loco ») produit par la Société Générale de Production – Babylone Films, avec Emmanuelle Riva, Hachemi Marzouk et George Shannon.
*
1975 L’arbre de Guernica
(« El àrbol de Guernica ») produit par C.V.C. Communication, Federico Mueller et Harry N. Blum, avec Maria Angela Melato et Ron Faber.
*
1980 L’odyssée de la Pacific
( « El emperador del Perù ») produit par Babylone Films, avec Mickey Rooney et Monique Leclerc.
*
1981 Le cimetière des voitures
(« El cementerio de automoviles ») coproduction Antenne 2 et Babylone Films, avec Alain Bashung et Juliette Berto.
*
1992 Adieu, Babylone!
production Antenne 2 -Cinecim, avec Lélia Fischer et Spike Lee.
*
1998 Jorge Luis Borges
(Una vida de poesía) production Aphaville/Spirali (Italie), avec Lélia Fischer et Alessandro Atti.DVD. Cult Epics http://www.cultepics.com/art_house.html
Cameo Media S.L. & Wanda films. cameo@cameo.es wanda@wanda.es
______________________________
7 films documentaires sur l’oeuvre de Fernando Arrabal, chacun de 1h 11′ (+ o -):
« Vidarrabal » de Xavier Pasturel
« L’art d’être Arrabal » de Alexis de Potestad
« Arrabal Grand Rectum » (Univ de Foulosophie) de H.Samson y F. Gourd
« Arrabal cinéaste panique » de Suarez y Amat
« Arrabal » de Humberto Lopez y Guerra (Prix Italia)
« Visiones de Arrabal » de José Vicente
» Arrabal en Guernica » de L. Argueta
__________________________
“Arrabal es al cine lo que Rimbaud a la poesía » (P. Bruckberger, ‘Le Monde’).
« Una de las obras cinematográficas más audaces, paroxísticas y artísticamente más acabadas » (Amos Vogel, ‘Village Voice’N.Y.);
‘Viva la muerte’ es una obra maestra absoluta . Una de las más deslumbrantes vistas en mi vida » (Pieyre de Mandiargues);
« Arrabal es ferozmente original » (John Parrack, ‘Rolling Stones’);
Mel Gussow (The New York Times) considera a Fernando Arrabal como el único superviviente de los « cuatro avatares de la modernidad»: surrealismo, pánico y patafísica. : Wikipedia
Fernando Arrabal Yo (“Moi”) ou “Le grand cinéma planétaire », huile sur toile de S. Martin 195 x 130 cm, croquis de F.Arrabal : « Au centre du tableau “Moi”, … je suis sur la plage de Melilla en juillet 1936. Inconscient de la condamnation à mort de mon père, je semble désemparé. Seul au monde je me cache en moi-même, face à la fureur incivile. Sur mon maillot blanc je porte inscrit le pronom “Moi” de mon unique refuge. Aux pieds de l’enfant Fernando A. deux chiens-dragons enragés se combattent, prêts à se dévorer et à nous dévorer. Ils luttent pour s’approprier l’os “1936”. Les neuf icônes du cinéma qui entourent l’enfant sont les neuf réalisateurs du grand cinéma planétaire : John Ford, Luis Buñuel, Charles S. Chaplin, Ingmar Bergman, Alfred Hitchcock, David Wark Griffith, Carl Theodore Dreyer, Sergeï Eisenstein et John Houston». Fernando Arrabal