« …Le Juge instructeur accuse F.Arrabal d’avoir signé dans les documentes très officiels de Papelera Española des phrases attentatoires au prestige de la société. Par exemple au mois de septembre 1955 on lui a enjoint de signer comme c’est son devoir sans ajouter aucun mot superflu, comme il l’avait fait au mois d’août; car à côté du montant de son salaire il avait écrit: Quelle misère! L’avertissement n’a pas été suivi d’effet puisque, à côté de sa signature, il a écrit poète pauvre et maudit … »