« Chaque fois que Rivarol [hebdomadaire français d’extrême droite, héritier du brûlot la Fronde] se réfère, par exemple, à Picasso (ou ses amis espagnols), il lui fait toujours baragouiner une langue discriminatoire. À la page 19 de son dernier livre, le directeur du Rond-Point se « souvient » de Fernando Arrabal, alors qu’il ne le connaissait pas encore (F.A. était à New York pour monter une de ses pièces). Mais il parle de lui d’une manière aussi discriminatoire que Rivarol. « :
Alessio Bertoli