Hier , dimanche,     [8 septembre 2019, apparent :  1er absolu de l’an 147 de l’ère ‘pataphysique]

nativité   d’Alfred Jarry,  nous avons célébré le nouvel an   par une tertulia  apocalyptique (sortie  de s.l. cranach) in partibus   dans l’ordonné (& méticuleux) capharnaüm  de Paris à Paris par la mer;

…avec le R.H.S.M., Thieri Foulc;

…avec les héritiers d’ Eva Babitz et Marcel Duchamp,  Mathilde Reumaux et Alexandre  Zahnbrecher,  des poètes dramatiques comme Patrice Trigano et  Christophe Fiat, le très jeunes groupe de théâtre  « Ninon Linée » (Fando et Lis)  qui va mettre le feu au Festival de Nanterre, le photographe Joseph Fonti,  Wanda Mihuleac et les princes et princesses du cours Florent avec la fable tragique ‘Les neuf fiancées de l’inoubliable Topor , Jean Marc Brunet (es son oeuvre le Baisemain  pour la fille de Madame Angot), Pénélope, Sophie, Miguel-Angel, Dimitri, Emilie qui présidait la soirée avec son Ubu,  le beau lion Milie v , les chevaliers  de Kenny,  Alexandra Chulia  avec l’excellent livre « Les 200 fiches du nouveau bac » et surtout sa page 441, des sybarites, adeptes, déserteurs, bateleurs, eunuques,  surhommes, confesseurs, pompiers, pantins, caudataires, écuyères, expurgées, cagots, amants, mécènes, solitaires, analogues, recluses, sans-culottes, océaniques, séides, acolytes, naïades, illuminées, lunatiques, maîtres-chanteurs, confidents, corsaires  etc..;

…avec les masques africains, les gloses et les poèmes plastiques maison;

…avec la dernière et traditionnelle photo  de thaumaturges et euphoristes armés (certains  participants étaient  déjà partis);

…pour plus d’actualité  un doctrinaire  a trotté en chambre sur survivre à la fin du monde;

 

 

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Je parle  rarement  d’ AMÉLIE NOTHOMB  (que je ne connais pas)  et de MICHEL HOUELLEBECQ.
 Le 3 septembre 2018, j’ai écrit:  j’aime les romans d’Amélie Nothomb, qui rendent parfois  hommage à  l’irremplaçable satrape Simon Leys,  et deux mois plus tard  j’aiajouté  je suis si charmé par  Amélie Nothomb que  j’accepte même qu’elle cite l’un de mes arrabalesques en  prétendant que c’est un aphorisme de Víctor Hugo .
       Jean-Edern Hallier m’avait nommé sans aucune raison rédacteur de  L’Idiot International avec des  personnes aussi présentes que moi à la rédaction:  par exemple Andy Warhol ou le  le Marquis de Sade.    C’était un journal   fondé en octobre 1969, je crois qu’il était  patronné à ses débuts par Simone de Beauvoir et largement financé par la mécène Silvina Boissonnas.   Il ne  m’a convoqué chez lui, place des Vosges, pour affaire « très urgente », que  trois fois. La première:  il voulait que je l’accompagne en Afghanistan. Sans suite. La troisième,  pour créer le prix du roman qui allait supplanter le Goncourt.  J’étais ravi puisque j’avais une candidate: Amélie Nothomb. En effet, le premier et dernier prix du roman de  L’Idiot International lui a été attribué!
       Le Premio Leteo, à mon avis,  le plus endiablado des prix espagnols nous l’avons reçu,  le mien en 2004, en 2005   Houellebecq et    Nothomb en 2006 .  Il m’a valu un voyage assez trépidant, conduit par   Houellebecq et dorloté par son inoubliable corgie Clément  à mes pieds.
       Les décideurs éditeurs et publicistes des deux auteurs ne se réfèrent jamais à leurs meilleurs livres ni  aux plus prestigieux des prix décernés en Europe (ils ne sont même pas cités par   Wikipedia).
      Amélie Nothomb (Fabienne Claire Nothomb), est  née  à Etterbeek; elle publie un inoubliable roman par an. Sur  la proposition du Vice-Premier Ministre de Belgique, le Roi Philippe  lui a accordé le titre de  baronne.
    Michel Houellebecq (Michel Thomas) est né dix avant elle  à Saint-Pierre, Réunion. Il  est l’auteur de  Lanzarote (son meilleur livre), plus sept romans, trois courts-métrages et La possibilité d’une île.

[Casi nunca me refiero a AMÉLIE NOTHOMB  y a MICHEL HOUELLEBECQ. El  Emanú (Jesucristo, Alain Bashung, Jean-Claude Drouot) del Cementerio de automóviles muere habitado por la SED cuando …de la Historia ¿solo se cuentan los detalles?]