«Il faut abandonner le passé tous les jours ou bien l’accepter. Et si on n’y arrive pas, on devient sculpteur». Louise Bourgeois met en scène des organes sexuels féminins et masculins dans son œuvre : des pénis dans sa sculpture de 1968 intitulée Fillette et immortalisée dans une photographie de l’artiste avec son œuvre figurant un pénis qu’elle porte sous le bras par ROBERT MAPPLETHORP,  ainsi que des clitoris dans Femmes Couteau de 1970. Les matières utilisées sont le marbre et le bronze pour commencer, matières qu’elle délaisse par la suite pour le plâtre qu’elle recouvre de latex ou de plastique, la cire, la résine