À la suite du récent article, «Picasso, Guernica et Dora», et des représentations internationales de ma pièce «Dali vs Picasso» je reçois ce message:

 

Cher Fernando. (Merci à mon ami pour avoir eu l’amabilité de m’envoyer votre article que, je dois le reconnaître , je n’aurais jamais lu).

Si on savait la vérité sur les événements de la prétendue histoire officielle, et la réalité qui se trouve derrière les mythes et légendes soutenus par l’axe Trump/Macron/Rajoy nous serions inquiets et perplexes.

L’Union Soviétique (surtout au temps de Staline) à réellement joué un rôle essentiel et très sage. Elle considérait les artistes et écrivains comme très importants pour consolider sa position d’avant-garde et son idéologie nouvelle et solidaire dans le monde.

Les artistes et écrivains étaient invités dans ce pays progressiste pour être fêtés et choyés. Surtout, ce qui était plus important pour eux, ils assistaient stupéfaits à une extraordinaire valorisation et achat de leurs oeuvres , alors que de ce coté du monde capitaliste ils survivaient péniblement. Et ils survivent.

Les écrivains assistaient à des tirages inimaginables de leurs livres et les peintre à l’expansion de leurs oeuvres dans un monde syndical et prolétaire immense.

Cela devait enfin supposer pour eux «le vrai Mister Marshall» du film de Berlanga.

De nos jours on assiste à une tentative, par le monde capitaliste, de fabriquer des écrivains choyés mais sans parvenir aux anciennes expansions de leurs oeuvres.

Pour les artistes et intellectuels à ce moment de leur vie, il était attirant de défendre la faucille et le marteau. Être choisis par l’Union Soviétique: était-il le rêve?

 

Je comprendrais le silence des «ex» à vos précisions.