Je ne crois pas qu’il y ait au monde trop d’écrivains
qui sans décrocher avec leurs livres des « best-sellers »
vivent (sans nager dans l’abondance)
uniquement et exclusivement de leurs droits d’auteur
comme Fernando Arrabal
« mystérieusement et incompréhensiblement », dit-il.
Malgré l’ignorance ou le refus des « meilleurs »
d’aujourd’hui ou d’hier ou de rouges ou de blancs
il réalise ses films son théâtre ses poèmes
à l’aide d’un ordinateur ou d’une caméra miniature
mais les « honneurs » ne cessent de tomber (1).
Pour son œuvre plastique
qui pour lui est la partie la plus importante de son œuvre en général
il n’a besoin que de pinceaux ou de glu ou d’outils .
Il n’écoute ni de près ni de loin les filous
[«i am detender of copyright…photos paye par mes denrées (sic) »]
qui ne se soucient que de maquignonner
et qui demandent d’éliminer tout témoignage sur Internet
c’est pourquoi il ne veut rien monnayer.
Puisqu’il n’a pu collaborer à la geste de son père
et que par hasard -dit-il-
il survit aux quatre avatars de la modernité
il n’admet pas de spéculer avec ses poèmes plastiques
ou avec les cadeaux que il a reçus des maîtres.
ARCO (la FIAC hispanique) accepte sa manière d’être
et généreusement l’invite à Madrid
pour l’amour de l’art
ce qui le ravit « arrabalaïquement »!
a r r a b a l
“Fernando Arrabal (Melilla, 1932), bien qu’il soit l’un de créateurs les plus controversés d’aujourd’hui, a reçu : le Pasolini de cinéma, le Nabokov International du roman, l’Antonin Artaud de théâtre , pour l’essai l’Espasa, le Wittgenstein de philosophie, le Mariano de Cavia de journalisme, l’Alessandro Manzoni de poésie …; à dix ans il a été Premio Nacional de superdotados, et il partage maintenant avec Marcel Duchamp, Benoît Mandelbrot, Man Ray ou Jean Baudrillard d’être Satrape Pataphysicien”: Frédéric Aranzueque-Arrieta.
“Il est évident que mon œuvre plastique est la part la plus importante, en attention personnel, de mon oeuvre en général (théâtre, cinéma, poésie, roman, etc). La plus secrète et énigmatique. Mes meilleurs amis (Marcel Duchamp, Andy Warhol, Topor ou Man Ray) n’ont été reconnus qu’à leurs occultations”: Fernando Arrabal.
« … fou, brutal, clinquant, joyeusement provocateur. Un potlatch dramaturgique où la carcasse de nos sociétés « avancées » se trouve carbonisée sur la rampe festive d’une révolution permanente. Arrabal hérite de la lucidité d’un Kafka et de l’humour d’un Jarry; il s’apparente, dans sa violence, à Sade ou à Artaud. Mais il est sans doute le seul à avoir poussé la dérision aussi loin. Profondément politique et joyeusement ludique, révoltée et bohème, elle est le syndrome de notre siècle de barbelés et de goulags : une façon de se maintenir en sursis. »” Dictionnaire des littératures (Éditions Bordas) Paris
“Chez les Arrabal, la peinture est une histoire de famille. Le frère, Julio, peint à merveille. Le père aussi. Et le grand-père. Aussi était-il naturel que le jeune Fernando apprenne l’art de la peinture à quatre ans (au collège des sœurs Teresianas de Ciudad Rodrigo où il brille par ses dessins) et que sa famille fonde de grands espoirs sur sa future carrière”. Léonore Chastagner
“Le tragique destin de son père a marqué l’auteur d’une lumière morale qui est la matière même de son art »: Vicente Aleixandre.
« Chaque texto que vous recevez de Fernando Arrabal est un poème. Et si un jour vous tombez sur sa messagerie, c’est un festin. Tout ce qu’il touche, il lui donne de la grâce ». Léonore Chastagner.
« Il est le seul survivant des quatre avatars de la modernité: dada, surréalisme, pataphysique et panique”: Mel Gussow, The New York Times.
« Même s’il défie Franco ou Castro, (Lettre au général Franco, 1972; Lettre à Fidel Castro, 1983) Arrabal n’est pas un ‘contestataire’, ni un prédicateur militant: c’est un homme qui joue. L’art, comme il le conçoit, est un jeu. El le monde se transforme en un jeu quand il le touche”: Milan Kundera
« Arrabal est passionné par la peinture, le jeu d’échecs, les masques africains, et la rigueur mathématique du tohu-bohu »: Michèle Reulle
“Avec ses poèmes plastiques Arrabal est un artiste absolu. Il n’y a pas de frontière entre sa vie et sa création. Avec lui l’art plastique ne se limite pas au cadre du tableau. Ou au socle de la statue. L’œuvre est totale. Le plus petit interstice n’y échappe pas. Même ses tapis sont une œuvre. Une “installation”. Précisément tous les détails de la vie d’Arrabal s’entremêlent avec son art. Ils construisent l’artiste Arrabal. Il réussit à être lui-même sans dominer, sans écraser. Fernando Arrabal triomphe depuis son ailleurs :
– il est l’auteur des poèmes plastiques: sa pensée poétique, tangible et concret,
– il est l’auteur des croquis de la série de grands tableaux réalistes à l’huile des années 60/70 comme Le grand tableau du XX siècle, Le grand théâtre du monde ou Le grand cinéma planétaire.
– il est l’auteur de la vingtaine des tableaux ‘des années 80) peints a la acrylique : Amours impossibles,
– et la série des collages de grand taille Histoires universels.
Léonore Chastagner (commissaire de l’exposition Poèmes plastiques de Fernando Arrabal au Musée Montparnasse).
…catalogue de 31 cmx 31 cm x 4,5 cm, 516 pages: ARRABAL ESPACE, Paris Art Center,
catalogue de 25 cm x 17 cm x 3cm de 384 pages: « VISIONES DE FERNANDO ARRABAL », Museu de la Ciutat de València,
catalogue de 32 cm x 24 cm x 1,1cm, 96 pages: KALEIDOSCOPIES, Fernando Arrabal et les artistes, Musée de BAYEUX,
catalogue de 31 cmx 31 cm x 4,5 cm, 456 pages: « The Five Lights of Chinese Art », Wang Guangyi, Zhang Xiaogang, Tue Minjun, Yang Shaobin, Wang Quingsong by Fernando Arrabal, Museum of Art and Urbanity, Shanghai,
catalogue de 80 cm x 120 cm: covercle en jade: Art Litho Paris «Les nuits d’Héliogabale» Otto Piene et Fernando Arrabal.
[…photo interdite par FACEBOOK, ainsi que l‘auteur du croquis (Fernando Arrabal): “Tirso de Molina avait raison”].
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Sept films longs métrages réalisés par ARRABAL (prix “Pasolini” 2007) ; sous-titres en anglais
1970 Viva la muerte coproduction Isabel-Films (Paris) et S.A.T.P.E.C. (Tunis), avec Nuria Espert, Ivan Henriques et Anouk Ferjac.
* 1972 J’irai comme un cheval fou (« Iré como un caballo loco« ) produit par la Société Générale de Production – Babylone Films, avec Emmanuelle Riva et Hachemi Marzouk
* 1975 L’arbre de Guernica (« El àrbol de Guernica« ) produit par C.V.C. Communication, Federico Mueller et Harry N. Blum, avec Maria Angela Melato et Ron Faber.
* 1980 L’odyssée de la Pacific ( « El emperador del Perù« ) produit par Babylone Films, avec Mickey Rooney et Monique Leclerc.
* 1981 Le cimetière des voitures (« El cementerio de automoviles« ) coproduction Antenne 2 et Babylone Films, avec Alain Bashung et Juliette Berto.
* 1992 Adieu, Babylone! production Antenne 2 -Cinecim, avec Lélia Fischer et Spike Lee.
* 1998 Jorge Luis Borges (Una vida de poesía) production Aphaville/Spirali (Italie), avec Lélia Fischer et Alessandro Atti.
Cult Epics http://www.cultepics.com/art_house.html cameo@cameo.es; wanda@wanda.es
http://ctnunited.com/xfsearch/Fernando+Arrabal/
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Neuf films documentaires sur l’oeuvre de Fernando Arrabal, chacun de 1h 11′ (+ o -):
« Arrabal; el genio y la locura » (2015, 1h 11′) de Javier Esteban
https://drive.google.com/file/d/0B7cWLQDFpzq9eVpsSDdoeDlnRU0/view?ts=587bfb5a
« Arrabal. imprescindibles Tohu bohu » TV de Luis Miguel González y David Herranz.
« TAR” de Kenny Ozier-Lafontaine
« Vidarrabal » de Xavier Pasturel
« L’art d’être Arrabal » de Alexis de Potestad
« Arrabal Grand Rectum » (Univ de Foulosophie) de H.Samson y F. Gourd
» Arrabal foulosophe » de François Ara Gourd et Hugo Samson
« Arrabal cinéaste panique » de Suarez y Amat
« Arrabal » de Humberto Lopez y Guerra (Prix Italia)
« Visiones de Arrabal » de José Vicente
“Arrabal es al cine lo que Rimbaud a la poesía » (P. Bruckberger, ‘Le Monde’).
« Una de las obras cinematográficas más audaces, paroxísticas y artísticamente más acabadas » (Amos Vogel, ‘Village Voice’N.Y.);
‘Viva la muerte’ es una obra maestra absoluta . Una de las más deslumbrantes vistas en mi vida » (Pieyre de Mandiargues);
« Arrabal es ferozmente original » (John Parrack, ‘Rolling Stones’)
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VARIOS CORTOMETRAJES
« Oscar Niemeyer » [ https://www.youtube.com/watch?v=IN7THMtLUsA ]
« Louise Bourgeois » [ https://www.youtube.com/watch?v=IYiNEnfKNpE
« Salinger »
« Sang et or France » 2 « Envoyé spécial »
« Echec et mythe » France 2 « Envoyé spécial »
« New York, New York » France 2 « Envoyé spécial »
et 2017 (s.l.d.P.m.p.v.) [youtube]: « George Orwell à Londres « , « Strindberg à Stockholm » et « Les naufragés du Batavia et Simon Leys à Amsterdam »
etc.
a r r a b a l:
« …a pesar de ser uno de los creadores más controvertidos de hoy, Fernando Arrabal (Melilla, 1932) ha recibido: el Pasolini de cine, el Nabokov Internacional de novela, el Antonin Artaud de teatro, el Espasa de ensayo, el Wittgenstein de filosofía, el Mariano de Cavia de periodismo, el Alessandro Manzoni de poesía … » a los diez años fue Premio Nacional de superdotados y ahora comparte con Marcel Duchamp, Benoît Mandelbrot, Man Ray, o Jean Baudrillard el ser Satrape Pataphysicien”: Frédéric Aranzueque-Arrieta.
“…obviamente mi obra plástica es la parte más importante, en atención personal, de mi obra en general (teatro, cine, poesía, novela etc). La más secreta y enigmática. …mis amigos (Marcel Duchamp, Andy Warhol o Man Ray) solo fueron reconocidos a sus ‘ocultaciones’”: Fernando Arrabal.
« … genial, brutal, sorprendente y gozosamente provocador …la chatarra de nuestras sociedades «avanzadas» se carboniza en la pista festiva de una revolución permanente. Arrabal hereda la lucidez de un Kafka y el humor de un Jarry; por su violencia se emparenta con Sade o con Artaud. Pero es probablemente el único en haber llevado tan lejos la irrisión. Gozosamente lúdica, rebelde y bohemia, su obra es el síndrome de nuestra época de alambradas: una forma de mantenerse alerta”: Dictionnaire des littératures (Éditions Bordas) París.
“…entre los Arrabal la pintura es una historia de familia . El hermano, Julio, pinta maravillosamente. El padre también: su centenar de retratos, únicos, en sus cárceles. Y el abuelo. Por lo tanto era natural que el joven Fernando aprendiera el arte de la pintura a los cuatro años (en el Colegio de las teresianas de Ciudad Rodrigo brillaba por ello) y que su familia abrigara grandes esperanzas pensando en su futura carrera”. Léonore Chastagner.
“…el trágico destino de su padre marcará al autor de una luz moral que está en la materia misma de su arte »: Vicente Aleixandre.
“…cada texto que recibes de Fernando Arrabal es un poema. Y si un día das con sus mensajes es un festín. A todo lo que toca, le da gracia”. Léonore Chastagner.
« …es el único superviviente de los cuatro avatares de la modernidad: dadá, surrealismo, patafísica y pánico”: Mel Gussow,The New York Times.
« …aunque desafía a Franco o a Castro, (Carta al general Franco, 1972; Carta a Fidel Castro, 1983) Arrabal no es un ‘contestario’, ni un predicador militante: es un hombre que juega. El arte tal como lo concibe es un juego. Y el mundo se convierte en un juego cuando lo toca”: Milan Kundera.
« …le apasiona la pintura, el ajedrez, las máscaras africanas y el rigor matemático del tohu-bohu »: Michèle Reulle.
“… con sus poemas plásticos Arrabal es un artista absoluto. No hay frontera entre su vida y su creación. Con él el arte pictórico no se limita al marco del cuadro. O al zócalo de la estatua. La obra es total. No se salva ni un solo intersticio. Hasta el piso de su casa es una obra. Una “instalación”. Precisamente todos los detalles de la vida de Arrabal se entremezclan con el arte. Construyen al artista Arrabal. Logra ser él, a pesar del azoramiento general. Sin dominar, sin aplastar Fernando Arrabal triunfa desde su más allá:
– es el autor de los poemas plásticos: su pensamiento poético tangible y concreto,
– es el autor de los croquis de la serie de grandes cuadros realistas al óleo de los años 60/70 como El gran cuadro del siglo XX, El Gran teatro del mundo o El gran cine planetario.
– es el autor de la veintena de lienzos pintados (en los años 80) con acrílica: Amores imposibles,
– y de la serie de collages de gran tamaño Historias universales”. Léonore Chastagner (comisaria de la exposición Poemas plásticos de Fernando Arrabal en el Museo Montparnasse).
…catálogo de 31 cmx 31 cm x 4,5 cm, 516 páginas: ARRABAL ESPACE, Paris Art Center,
catálogo 25 cm x 17 cm x 3cm de 384 páginas: « VISIONES DE FERNANDO ARRABAL », Museu de la Ciutat de València,
catálogo de 32 cm x 24 cm x 1,1cm, 96 páginas: KALEIDOSCOPIES, Fernando Arrabal et les artistes, Musée de BAYEUX,
caltálogo de 31 cmx 31 cm x 4,5 cm, 456 páginas: « The Five Lights of Chinese Art », Wang Guangyi, Zhang Xiaogang, Tue Minjun, Yang Shaobin, Wang Quingsong by Fernando Arrabal, Museum of Art and Urbanity, Shanghai,
catálogo de 80 cm x 120 cm: portada en jade: Art Litho Paris «Les nuits d’Héliogabale» Otto Piene y Fernando Arrabal.
[…foto prohibida por FACEBOOK, así como el autor del croquis (Fernando Arrabal): “Tirso de Molina tenía razón”].
* * *
…siete films largo-metrajes realizados por Arrabal (premio “Pasolini” 2007):
1970 Viva la muerte coproduction Isabel-Films (Paris) et S.A.T.P.E.C. (Tunis), avec Nuria Espert, Ivan Henriques et Anouk Ferjac.
1972 J’irai comme un cheval fou (« Iré como un caballo loco« ) produit par la Société Générale de Production – Babylone Films, avec Emmanuelle Riva, Hachemi Marzouk et George Shannon.
1975 L’arbre de Guernica (« El àrbol de Guernica« ) produit par C.V.C. Communication, Federico Mueller et Harry N. Blum, avec Maria Angela Melato et Ron Faber.
1980 L’odyssée de la Pacific ( « El emperador del Perù« ) produit par Babylone Films, avec Mickey Rooney et Monique Leclerc.
1981 Le cimetière des voitures (« El cementerio de automoviles« ) coproduction Antenne 2 et Babylone Films, avec Alain Bashung et Juliette Berto.
1992 Adieu, Babylone! production Antenne 2 -Cinecim, avec Lélia Fischer et Spike Lee.
*1998 Jorge Luis Borges (Una vida de poesía) production Aphaville/Spirali (Italie), avec Lélia Fischer et Alessandro Atti.
CultEpics http://www.cultepics.com/art_house.html cameo@cameo.es; wanda@wanda.es http://ctnunited.com/xfsearch/Fernando+Arrabal/
* * *
…diez films documentales sobre la obra de Fernando Arrabal, cada uno de 70′ (+ o -):
« Arrabal; el genio y la locura » de Javier Esteban https://drive.google.com/file/d/0B7cWLQDFpzq9eVpsSDdoeDlnRU0/view?ts=587bfb5a
« Arrabal. imprescindibles, Tohu bohu » TVE de Luis Miguel González y David Herranz.
« TAR” de Kenny Ozier-Lafontaine
« L’art d’être Arrabal » de Alexis de Potestad
« Arrabal Grand Rectum » (Univ de Foulosophie) de H.Samson y F. Gourd
» Arrabal foulosophe » de François Ara Gourd et Hugo Samson
« Arrabal cinéaste panique » de Suarez y Amat
« Arrabal » de Humberto Lopez y Guerra (Prix Italia)
« Visiones de Arrabal » de José Vicente
*
“Arrabal es al cine lo que Rimbaud a la poesía » (P. Bruckberger, ‘Le Monde’).
« Una de las obras cinematográficas más audaces, paroxísticas y artísticamente más acabadas » (Amos Vogel, ‘Village Voice’N.Y.);
‘Viva la muerte’ es una obra maestra absoluta . Una de las más deslumbrantes vistas en mi vida » (Pieyre de Mandiargues);
« Arrabal es ferozmente original » (John Parrack, ‘Rolling Stones’)
*
VARIOS CORTOMETRAJES
« Oscar Niemeyer » [ https://www.youtube.com/watch?v=IN7THMtLUsA ]
« Louise Bourgeois » [ https://www.youtube.com/watch?v=IYiNEnfKNpE
« Salinger »
« Sang et or » France 2 « Envoyé spécial »
« Echec et mythe » France 2 « Envoyé spécial »
« New York, New York » France 2 « Envoyé spécial » etc.
y en 2017 (s.l.d.P.l.p.v.): « George Orwell en Londres » « Strindberg en Estocolmo » « Los naufragados del Batavia y Simon Leys à Amsterdam »
…“El gran cine planetario», óleo de 195 x 130 cm, croquis de F.Arrabal : John Ford, Buñuel, Chaplin, Ingmar Bergman, Hitchcock, Griffith, Dreyer, Eisenstein y John Houston