17 février 2016
FANDO et LIS
de Fernando Arrabal
à partir du 23 Avril 2017
[le 23 avril sera justement le CCCI de «L’extravagante réussite de Miguel de Cervantès et William Shakespeare»]
Opéra de St-Étienne
Musique du compositeur Benoît Menut
Mise en scène et direction artistique de Kristian Frédric
Avec la collaboration de Jean-Claude VIAN
Contempory European Theatre Directors / Cahier de théâtre – JEU: « ….Kristian Frédric dirige la compagnie Lézards qui bougent depuis 1989. Au titre de directeur artistique de cette compagnie, il propose à de nombreux créateurs de s’associer à sa démarche. Ainsi, depuis 1989, il a produit ou co-produit trente-cinq créations, et a signé vingt-cinq mises en scènes. Il s’engage aussi fortement dans la promotion d’auteurs contemporains, organisant des représentations dans des lieux atypiques afin de faire découvrir ces auteurs et leurs écrits. Il a mis en place dans sa région à Bayonne (France) différents festivals: « Paroles à ma tribu » et « Rencontres Improbables ». Lauréat de la Villa Médicis Hors Les Murs 2005 et récemment nommé Chevalier des Arts et des Lettres en France, il a également enseigné le théâtre et notamment à l’École Nationale de théâtre du Canada à Montréal en 2007. En 2010 il a créé une mise en scène pour l’opéra de Nuremberg : Orphée et Eurydice de Gluck qui s’est jouée 49 fois dans les sous-sols de la ville de Nuremberg lors du festival Gluck cet été sous forme d’une déambulation. Cette création a été réalisée par trois metteurs en scène chacun s’est vu attribuer une partie de l’opéra. Elle a été produite par l’opéra de Nuremberg, la Scène Nationale de Bayonne et le Napoli Teatro festival, et elle sera reprise dans ces deux dernières villes en 2011. Aussi il crée JAZ de Koffi Kwahulé en décembre 2010 à Montréal avec une tournée européenne en 2011. En novembre 2013, il crée le spectacle Andromaque Code Breuer avec les habitants des Hauts de Bayonne. En 2014, c’est l’adaptation et la création d’ Andromaque 10-43 avec en outre Denis Lavant dans le rôle de Pyrrhus pour une tournée en France, Suisse et au Québec. Ce spectacle rencontre 13 895 spectateurs pour 54 représentations. Kristian Frédric utilise le théâtre comme une arme pour dénoncer « un monde amnésique et inhumain » et ne manque pas de constater et affirmer que la destruction de l’homme par l’homme est encore une recherche de la communication. Dans un univers complètement fantasmagorique, il suggère et souligne la force de l’imagination et nous emmène aux frontières du réel où nul ne peut discerner le vrai du faux… »