IRAN-1

Un commentaire

  1. À mi-chemin de Warhol et de Rodtchenko, c’est à la façade de l’Hôtel de ville qu’en contraste avec nos visages échappant au coup de serpe de l’IRANisation comparable à ce que serait une FRANCisation industrielle à la citoyenneté parfaitement calibrée, le traitement agamien du visage de Sakineh prendrait sa dimension déchirante.

    Bémol : Prise au pied de la lettre, la déclaration d’amour contiendrait la charge sémantique d’une déclaration de guerre.