Le mystère de Matignon?:

Depuis 1935 c’est la résidence officielle du chef du gouvernement français  ou Premier ministre.

Hôtel particulier du XVIIIe siècle ayant appartenu à différentes familles

et célébrités, avant d’être confisqué puis racheté par l’État français en 1922.

Le bâtiment comporte à l’arrière un parc de trois hectares.

Dans le langage courant il est souvent désigné par « Matignon ».

 

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Mais pourquoi un échiquier IMPOSSIBLE  de 7 x 7  cases (à la place du 8×8 orthodoxe)?

 

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« BORGES »…en français:

– Et à propos de mémoire dans votre récit « Pierre Ménard auteur du Quichotte » vous  (« JORGE LUIS BORGES ») citez comme faisant partie de l’oeuvre visible de cet écrivain «un article technique  sur la possibilité d’enrichir  les échecs en éliminant l’un des pions de la tour. Ménard propose, recommande, discute et finit par repousser cette innovation.   Imaginons la partie  sans le pion « a » (ou « h ») de  chacun des adversaires. Le premier coup serait : 1. TxTa8. Et le deuxième: les noirs  abandonnent! Qu’a-t-il voulu dire? Est-ce une énigme ou une erreur provoquée par   votre (sa) mémoire?

 

Je me suis aussitôt souvenu qu’en 1935 avec Bioy Casares  nous avions pensé écrire un roman à la première personne dont le narrateur se laisserait aller  à des contradictions qui  permettraient à un  très petit nombre de lecteurs de deviner une réalité  atroce ou banale.

 

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BORGES …en espagnol:

– Y a propósito de memoria en su relato « Pierre Menard, autor de El Quijote » usted (« JORGE LUIS BORGES ») cita como pieza de la obra visible de este escritor « un artículo técnico sobre la posibilidad de enriquecer el ajedrez eliminando uno de los peones de torre. Menard propone, recomienda, discute y acaba por rechazar esa innovación ». Imaginemos la partida sin el peón « a » (o « h ») de cada uno de los contendientes. La primera jugada sería: 1. TxTa8. Y la segunda: las negras abandonan! ¿Qué ha querido decir? ¿Es un enigma o un error provocado por su memoria?

 

Recordé en el acto que con Bioy Casares, en 1935 habíamos pensado escribir una novela  en primera persona cuyo narrador incurriera en contradicciones que permitirían a un reducidísimo número de lectores la adivinación de una realidad atroz o banal.