Teatro de La Hoya 
« …en el teatro de La Hoya las representaciones constituyen una experiencia irremplazable.    Cada semana dos monitoras (María Chic y Carmen Córdova)  trabajan  utilizando diferentes técnicas. El teatro cumple una función de formación cultural, pero también de desarrollo personal y de participación social.  Los actores presentaron su montaje de

« Picnic » de Ferrnando Arrabal

el pasado 16 de junio  ante espectadores  que valoraron con sus aplausos el trabajo y calidad del resultado.  Finalmente, este fin de semana tiene lugar la actuación del grupo según el siguiente programa y reparto.

PROGRAMA

TTULO DE LA OBRA: « Apertura Orangután »

AUTOR: Fernando Arrabal

REPARTO: Domingo Monaj, Victoria Fortuño, Elisa Seral, Mª Isabel Valero, Andrés Seral … »

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Résumé de l’œuvre:

L’ouverture orang-outan de Fernando Arrabal:

« …dans L’ouverture orang-outan, Arrabal s’amuse avec les règles du théâtre : quiproquo, comique de répétition, théâtre de boulevard… Pièce de jeunesse, elle préfigure les grands textes qui feront le renom de l’auteur. Ici, la pièce est loufoque : Jean-François aime Mathilde mais la trouve trop parfaite ce qui lui donne l’envie de se suicider. Jean-François convoque un psychiatre mais arrive Lulu qui pratique le plus vieux métier du monde. Mathilde doit affronter Teddy de Brooklyn pour le titre de champion du monde d’échecs. Jean-François assomme Lulu qui transforme le coup de poing en coup de foudre. Mathilde, jalouse, convoque un détective privé, mais c’est Prosper les Bonnes Manières, maquereau de son état, à la recherche de Lulu, qui intervient. Il y a de la drogue dans toute la maison, des coups de feu entre bandes rivales, les putains qui jouent mieux aux échecs que le champion du monde… La pièce est inracontable, mais elle est très drôle… »

ARRABAL: «…un théâtre fou, brutal, clinquant, joyeusement provocateur. Un potlatch dramaturgique où la carcasse de nos sociétés « avancées » se trouve carbonisée sur la rampe festive d’une révolution permanente. Il hérite de la lucidité d’un Kafka et de l’humour d’un Jarry ; il s’apparente, dans sa violence, à Sade ou à Artaud. Mais il est sans doute le seul à avoir poussé la dérision aussi loin. Profondément politique et joyeusement ludique, révoltée et bohème, elle est le syndrome de notre siècle de barbelés et de goulags : une façon de se maintenir en sursis…»