La lettre de Jean-Pierre Mocky
« J’ai toujours été fondamentalement du côté de la liberté et aujourd’hui plus encore.
Jafar Panahi est notre camarade iranien à nous tous, réalisateurs.
Que demander aujourd’hui pour Panahi? Sa liberté, évidemment, mais aussi celle de pouvoir filmer de nouveau.
Et même, osons rêver, c’est de tout cœur que j’aimerais voir Jafar Panahi travailler à Paris ! Si c’est le pied de la capitale qu’il viendrait fouler, Panahi peut d’ores et déjà être sûr de mon soutien ; je l’aiderai à trouver des fonds pour tourner ici.
Je crois que je ne serai heureux que lorsqu’il n’y aura plus de cinéastes brimés dans ce monde. »