Communiqué de Liliane Lazar, professeure à l’Hofstra University, Long Island et éditrice du site de Bernard-Henri Lévy.
Je suis scandalisée.
Une véritable opération de sabotage s’est engagée, ce jour, contre Bernard-Henri Lévy au travers de sa pièce : Hôtel Europe.
Une pseudo information, immédiatement démentie par le théâtre de l’Atelier mais relayée par des dizaines de sites et de médias, prétend que Hôtel Europe « s’arrêterait brutalement », que « Bernard-Henri Lévy serait contraint d’annuler sa pièce », et cela « faute de spectateurs ».
Des spectateurs affolés téléphonent au théâtre.
Des gens qui ont acheté leurs tickets pour la semaine prochaine, le mois prochain, nous écrivent ici pour savoir ce qu’il en est.
Or c’est un mensonge !
C’est une désinformation honteuse !
Bien sûr que la pièce de Bernard-Henri Lévy continue !
Bien sûr que la pièce de Bernard-Henri Lévy reste à l’affiche du Théâtre de l’Atelier !
Et elle y reste plus d’un mois, je dis bien plus d’un mois, ce qui est encore très long, puisque l’arrêt est prévu le 16 novembre prochain !!!
Pourquoi, alors, cette contre vérité ?
Pourquoi des sites sérieux se sont-ils prêtés à cette manipulation, et ont-ils suivi comme des moutons, sans songer à vérifier ni à appeler le théâtre ?
Et quel intérêt à semer ainsi la panique par une nouvelle, non seulement catastrophiste, mais factuellement fausse ?
Bernard-Henri Lévy me dit qu’il s’en moque.
Il est, ce mardi soir, à New York où il prononce un hommage à Charlie Rose et, joint au téléphone, il m’a dit qu’il s’en moquait car « rester à l’affiche pendant deux mois, pour une pièce, c’est formidable »..
Mais, moi, je ne m’en moque pas.
Je suis horrifiée par cette tentative d’assassiner la pièce de mon ami et, à travers lui, le travail de Weber, de Dino Mustafic ainsi que de tous les merveilleux techniciens qui l’ont menée de Sarajevo à Paris en passant par La Fenice de Venise et l’Opéra d’Odessa.
Je suis horrifiée par cette manœuvre qui n’a, à l’évidence, qu’un but : vider les salles, décourager les spectateurs.
Alors, ma voix ne pèse sans doute pas lourd.
Je ne suis qu’une obscure professeure de cette Amérique que Bernard-Henri Lévy aime tant.
Mais, au nom de la probité la plus élémentaire et au nom de la défense, aussi, de cette pièce que je trouve belle et qui vaut à Jacques Weber, chaque soir, une longue et superbe ovation debout, je dis aux visiteurs de ce site qui ne l’auraient pas encore fait : allez voir la pièce ! ne tombez pas dans le piège, appelez le théâtre, réservez  comme vous voulez et comme vous pouvez, mais essayez de casser la machination de ces salauds qui veulent casser Lévy.
Vous avez jusqu’au 16 novembre,  je dis bien le 16 novembre, pour découvrir et faire découvrir Hôtel Europe. Je compte sur vous. Et Bernard, même s’il dit le contraire, compte aussi sur vous.

Un commentaire

  1. Chere Liliane

    Je vous rejoins tellement
    Bravo pour votre message, les organes de qualite ( figaro, huffington Post et d autres) ont repris cette bonne information
    Nous avons eu le bonheur de voir la piece hier soir et nous etions emballes
    Nous y etions avec nos chers amis du Ken Club, les Benzaquen, eux même amis de Bernard-Henri et Jacques Weber
    Et Bernard nous a honore et ravi de sa presence
    Un grand et beau moment de reflexion et d echange et un grand moment de theatre.
    Et comme Bernard nous a suggere, on a inonde facebook de messages positifs pour vanter et donner un 2e souffle a la piece
    Amicalement
    Mickael et Cecile Suissa