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Le film "Peshmerga" était projeté au cinéma Saint-Germain, en présence de Bernard-Henri Lévy (le réalisateur) et François Margolin (le producteur) ainsi que des psychanalystes Jean-Jacques Moscovitz et Fred Siksou de l'association Le regard qui bat. Photo : Yann Revol.
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Projection du film "Peshmerga", le 17 juin 2016, au cinéma Saint-Germain, en présence de Bernard-Henri Lévy (le réalisateur) et François Margolin (le producteur) ainsi que des psychanalystes Jean-Jacques Moscovitz et Fred Siksou de l'association Le regard qui bat. Photo : Yann Revol.
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Le film "Peshmerga" était projeté au cinéma Saint-Germain, en présence de Bernard-Henri Lévy (le réalisateur) et François Margolin (le producteur) ainsi que des psychanalystes Jean-Jacques Moscovitz et Fred Siksou de l'association Le regard qui bat. Photo : Yann Revol.
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Le film "Peshmerga" était projeté au cinéma Saint-Germain, en présence de Bernard-Henri Lévy (le réalisateur) et François Margolin (le producteur) ainsi que des psychanalystes Jean-Jacques Moscovitz et Fred Siksou de l'association Le regard qui bat. Photo : Yann Revol.
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Le film "Peshmerga" était projeté au cinéma Saint-Germain, en présence de Bernard-Henri Lévy (le réalisateur) et François Margolin (le producteur) ainsi que des psychanalystes Jean-Jacques Moscovitz et Fred Siksou de l'association Le regard qui bat. Photo : Yann Revol.
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Le film "Peshmerga" était projeté au cinéma Saint-Germain, en présence de Bernard-Henri Lévy (le réalisateur) et François Margolin (le producteur) ainsi que des psychanalystes Jean-Jacques Moscovitz et Fred Siksou de l'association Le regard qui bat. Photo : Yann Revol.
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Le film "Peshmerga" était projeté au cinéma Saint-Germain, en présence de Bernard-Henri Lévy (le réalisateur) et François Margolin (le producteur) ainsi que des psychanalystes Jean-Jacques Moscovitz et Fred Siksou de l'association Le regard qui bat. Photo : Yann Revol.
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Le film "Peshmerga" était projeté au cinéma Saint-Germain, en présence de Bernard-Henri Lévy (le réalisateur) et François Margolin (le producteur) ainsi que des psychanalystes Jean-Jacques Moscovitz et Fred Siksou de l'association Le regard qui bat. Photo : Yann Revol.
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Le film "Peshmerga" était projeté au cinéma Saint-Germain, en présence de Bernard-Henri Lévy (le réalisateur) et François Margolin (le producteur) ainsi que des psychanalystes Jean-Jacques Moscovitz et Fred Siksou de l'association Le regard qui bat. Photo : Yann Revol.
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Le film "Peshmerga" était projeté au cinéma Saint-Germain, en présence de Bernard-Henri Lévy (le réalisateur) et François Margolin (le producteur) ainsi que des psychanalystes Jean-Jacques Moscovitz et Fred Siksou de l'association Le regard qui bat. Photo : Yann Revol.
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Le film "Peshmerga" était projeté au cinéma Saint-Germain, en présence de Bernard-Henri Lévy (le réalisateur) et François Margolin (le producteur) ainsi que des psychanalystes Jean-Jacques Moscovitz et Fred Siksou de l'association Le regard qui bat. Photo : Yann Revol.
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Le film "Peshmerga" était projeté au cinéma Saint-Germain, en présence de Bernard-Henri Lévy (le réalisateur) et François Margolin (le producteur) ainsi que des psychanalystes Jean-Jacques Moscovitz et Fred Siksou de l'association Le regard qui bat. Photo : Yann Revol.
« Peshmerga » : la rencontre avec Bernard-Henri Lévy en images
Le vendredi 17 juin 2016, Bernard-Henri Lévy a présenté son film "Peshmerga" et répondu aux questions du psychanalyste Jean-Jacques Moscovitz, de Fred Siksou ainsi que du public.
C'était un événement de l’association Le Regard Qui Bat en partenariat avec Étoile cinémas.
L’avant propos de Jean-Jacques Moscovitz : Guerre « urbicide » est le terme du narrateur, de la bouche même de Bernard Henri-Lévy, le réalisateur, pour définir le crime contre l’humanité, contre les villes, ces lieux de naissance, lieux des mères, des femmes. Les images du film, nous qui sommes à l’arrière, nous qui n’avons pas l’audace d’aller sur le sol du combat, nous font témoins de ces guerriers redoutables par leur courage et le respect de la vie allant au devant de la mort pour vaincre Daech. Ils se dressent contre la barbarie, ce sont les Peshmergas. S’appuyant sur un passé immémorial pour leur combat, pour leurs terres, leurs familles, les populations quelles que soient leur religion, des Juifs aux Yézidis, des chrétiens du temps de Jésus-Christ, des musulmans, et d’autres encore, ce sont les Kurdes… Leur pays est le Kurdistan, leurs villes ont pour nom Erbil, Kirkouk, Mossoul… Et depuis la tyrannie génocidaire de Saddam Hussein attentant à leur peuple par des attaques au gaz exterminateur, les voilà malgré la Syrie et la Turquie, leurs opposants de toujours, à défende la liberté de notre monde en face de la barbarie surgie en juin 2014 par Daech et ses attentats kamikazes à travers la Planète.
Film produit par François Margolin, le réalisateur de Salafistes,Peshmerga nous fait vivre six mois de la guerre encore inachevée contre l’EI sur le front des combats de 1000 km où se déroule ce mouvement d’indépendance pour les Kurdes, une guerre quasi mondiale pour nous. Il est réalisé par un philosophe, auteur de L’Esprit du Judaïsme, son dernier livre qui évoque cette nécessité ducombat pour l’émancipation et la responsabilité des gens. Le voilà narrateur, désireux de l’être, malgré l’ampleur d’une telle tâche et ses risques, physiques certes, mais aussi intellectuels. Le mouvement du récit évite l’écueil essentiel, celui de garder sa place de civil… il est en habits civils, les siens, chacun le sait. Mais la rencontre qu’il crée avec les autorités kurdes mérite un tel film. Chapeau…
Ce film propose le soutien des démocraties à l’armée kurde, « la seule armée sur le terrain, dit-il, à avoir infligé à Daech des revers décisifs ». Et « dont le projet politique, le goût et la pratique du pluralisme, la conception de l’islam, de la liberté de conscience et de foi, la place qu’ils reconnaissent aux femmes dans la société et dans l’armée sont sans exemple dans le monde musulman » et qu’ils « deviendraient, s’ils l’emportaient, un modèle pour la région ».
Un psychanalyste ne peut que souscrire et prendre part à un tel projet devant les turbulences du monde actuel… où le réel de la défaite des hommes devant l’horreur risque de devenir incontournable. Réel de la vie contre celui de la mort, de la dignité contre la honte…
L’annonce sur le site de