Cultiver la peur de l’autre, opposer une religion, une culture contre une autre c’est le début du fascisme et nous n’en sommes pas loin.
A quoi servent les exemples de l’Histoire sinon?
Aucune des solutions du Front national ne sera la bonne; voter pour un parti démocratique – quel qu’il soit – est la bonne solution.
Cinq minutes pour voter ce dimanche seront cinq minutes utiles…
Et Dieudonné alors? qui vote pour lui?
Je vote, contre la peur de l’autre.
Je vote Hollande, contre la peur de l’autre.
Je vote Hollande, contre la peur de l’autre, à commencer par Sarkozy.
Je vote Hollande, contre la peur de l’autre, pour la démocratie et ses principes, à commencer par la liberté, l’égalité et la fraternité avec le Citoyen Sarkozy.
Je vote Hollande, contre la peur de l’autre, pour la démocratie et ses principes, à commencer par la liberté, l’égalité et la fraternité, ce qui implique que je lutte contre un usage tyrannique de la démocratie qui ferait de moi l’otage d’un piège à con et m’obligerait à rester coincé là, au fond de mon trou de conscience, dix, vingt, trente, quarante ans, jusqu’à ce que mort s’ensuive, avec le cybertoyen Sarko Z.
Je vote Hollande, contre la peur de l’autre, pour la démocratie et ses principes, à commencer par la liberté, l’égalité et la fraternité, ce qui implique que je lutte contre un usage tyrannique de la démocratie qui me ferait cautionner hors de moi l’autocratie fasciste, me vouerait à l’outrage impérial d’un piège à faucon rouge et m’obligerait à rester coincé là, au fond de mon trou de conscience, dix, vingt, trente, quarante ans ou une seconde, jusqu’à ce que mort s’ensuive, avec le Cybertoy en Tsar cosy.
Je vote à l’américaine. Honneur aux vaincus!
Je vote, contre la peur de l’autre.
Je vote Hollande, contre la peur de l’autre.
Je vote Hollande, contre la peur de l’autre, à commencer par Sarkozy.
Je vote Hollande, contre la peur de l’autre, pour la démocratie et ses principes, à commencer par la liberté, l’égalité et la fraternité avec le Citoyen Sarkozy.
Je vote Hollande, contre la peur de l’autre, pour la démocratie et ses principes, à commencer par la liberté, l’égalité et la fraternité, ce qui implique que je lutte contre un usage tyrannique de la démocratie qui ferait de moi l’otage d’un piège à con et m’obligerait à rester coincé là, au fond de mon trou de conscience, dix, vingt, trente, quarante ans, jusqu’à ce que mort s’ensuive, avec le Citoyen Sarkozy.
Je vote à l’américaine. Honneur au vaincu!