« Arrabal: une oeuvre-vie panique » de Frédéric Aranzueque-Arrieta (Les éditions Moires)
« … au début on se dit, encore une biographie! …on connaît « tout ça » …ensuite avec un vague pressentiment d’ intérêt … puis avec une excitations grandissante …je crois que Fernando Arrabal est un personnage à ma connaissance (nouvelle) sans précédent …ses chronique d’échecs hebdomadaires dans l’Express (pendant des dizaines d’années! ) sont un régal plein d’esprit et de ressources … parce qu’Arrabal est un innovateur caché, un idéologue clandestin, un surdoué depuis sa naissance …avec son combat solitaire pour se contrer lui-même… ses écrits depuis la plus simple chronique d’échecs jusqu’à l’opéra n’ont rien à voir avec la littérature comme on la conçoit aujourd’hui …il paraît que malheureusement l’auteur parcourait anonymement le dimanche 17 mars les Champs Elysées (il avait un RDV au Salon du Livre de Paris) pour recueillir des témoignages des ‘événements’… comme quelques semaines auparavant sur ‘son cimetière des voitures’… »: Clifford Burton (ABC)
Le livre est annoncé par plusieurs éditeurs étrangers de Fernando Arrabal (520 pages . …et 1300 notes de bas de page)
Portraits d’Arrabal par BEN et par Alexandro Jodorowsky/Jean Benoit.
Huiles sur toile d’Arnaiz et Crespo: 195 cm x 130 cm, croquis de F. Arrabal
« …voici la couverture, avec 4ème et rabats…: