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“Le grand cinéma planétaire », huile sur toile de 195 x 130 cm, croquis de F.Arrabal : John Ford, Luis Buñuel, Charles S. Chaplin, Ingmar Bergman, Alfred Hitchcock, David Wark Griffith, Carl Theodore Dreyer, Sergeï Eisenstein et John Houston».

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« Arrabal (prix “Pasolini” 2007)  cinéaste » de Ramon Suarez

Prochaines diffusions à la télé  Ciné+ Club en direct: Jeudi 7 août 2014
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Ciné+ Club en direct: Dimanche 10 août 2014
à 19:45

Casting complet
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Fernando Arrabal, face caméra, revient sur la genèse de son cinéma, initié en 1971 par son premier long-métrage VIVA LA MUERTE.
Une oeuvre cinématographique marquée par des thèmes de prédilection liés à l’enfance difficile de l’artiste : la guerre d’Espagne, le franquisme, l’absence du père, la figure de la mère envahissante.
Autant de sujets récurrents qui jalonnent sa filmographie composée de sept films…   » ferozmente original » (John Parrack, ‘Rolling Stones

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7  films longs métrages  réalisés par ARRABAL (prix “Pasolini” 2007) sous-titres en anglais

1970 Viva la muerte
coproduction Isabel-Films (Paris) et S.A.T.P.E.C. (Tunis), avec Nuria Espert, Ivan Henriques et Anouk Ferjac.
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1972 J’irai comme un cheval fou
(« Iré como un caballo loco« ) produit par la Société Générale de Production – Babylone Films, avec Emmanuelle Riva, Hachemi Marzouk et George Shannon.
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1975 L’arbre de Guernica
(« El àrbol de Guernica« ) produit par C.V.C. Communication, Federico Mueller et Harry N. Blum, avec Maria Angela Melato et Ron Faber.
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1980 L’odyssée de la Pacific
( « El emperador del Perù« ) produit par Babylone Films, avec Mickey Rooney et Monique Leclerc.
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1981 Le cimetière des voitures
(« El cementerio de automoviles« ) coproduction Antenne 2 et Babylone Films, avec Alain Bashung et Juliette Berto.
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1992 Adieu, Babylone!
production Antenne 2 -Cinecim, avec Lélia Fischer et Spike Lee.
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1998 Jorge Luis Borges
(Una vida de poesía) production Aphaville/Spirali (Italie), avec Lélia Fischer et Alessandro Atti.

DVD. Cult Epics http://www.cultepics.com/art_house.html

Cameo Media S.L. &  Wanda films.   cameo@cameo.es      wanda@wanda.es

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7 films documentaires sur l’oeuvre de Fernando Arrabal, chacun de 1h  11′ (+ o -):

« Vidarrabal » de Xavier Pasturel  :

http://www.priceminister.com/offer/buy/180179160/vidarrabal-de-xavier-pasturel-barron.html

« L’art d’être Arrabal » de Alexis de Potestad

« Arrabal Grand Rectum » (Univ de Foulosophie) de H.Samson y F. Gourd

« Arrabal cinéaste «  de Suarez

 » Arrabal  foulosophe » de François Ara

 

« Arrabal » de Humberto Lopez y Guerra (Prix Italia)

« Visiones de Arrabal » de José Vicente

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“Arrabal  es al cine lo que Rimbaud a la poesía » (P. Bruckberger,  ‘Le Monde’).

« Una de las obras cinematográficas más audaces, paroxísticas y artísticamente más acabadas » (Amos Vogel, ‘Village Voice’N.Y.);

‘Viva la muerte’ es una obra maestra absoluta . Una de las más deslumbrantes vistas en mi vida » (Pieyre de Mandiargues);

« Arrabal es ferozmente original » (John Parrack, ‘Rolling Stones’);

Mel Gussow (The New York Times) considera a Fernando Arrabal como el único superviviente de los « cuatro avatares de la modernidad»: surrealismo, pánico y patafísica. : Wikipedia


“Le grand cinéma planétaire », huile sur toile de 195 x 130 cm, croquis de F.Arrabal :  « Au centre du tableau “moi”, … je suis sur la plage de Melilla en juillet 1936. Inconscient de la condamnation à mort de mon père, je semble désemparé. Seul au monde je me cache en moi-même, face à la fureur incivile. Sur mon maillot blanc je porte inscrit le pronom “Moi” de mon unique refuge. Aux pieds de l’enfant Fernando A. deux chiens-dragons enragés se combattent, prêts à se dévorer et à nous dévorer. Ils luttent pour s’approprier l’os “1936”. Les neuf icônes du cinéma qui entourent l’enfant sont les neuf réalisateurs du grand cinéma planétaire : John Ford, Luis Buñuel, Charles S. Chaplin, Ingmar Bergman, Alfred Hitchcock, David Wark Griffith, Carl Theodore Dreyer, Sergeï Eisenstein et John Houston».

Le grand cinema planétaire