On peut écrire sur le Rwanda mais pas n’importe quoi

C’est avec grand amusement que je viens de lire le texte de Pierre Péan ; texte étrangement tendu, nerveux, brusque, saccadé, précipité et violent. J’ai choisi d’y répondre calmement, d’élever le niveau (lire ma réponse ci-dessous).